Ultrawaves.fr - Internet et Technologies2024-03-21T13:58:15+00:00urn:md5:9f8e1013fb555d96bb9a018f5cf76022DotclearChistera-pi - un shield LoRa pour Raspberry Piurn:md5:0d26107c7ced4afcb49e9eff4141bdcc2016-08-28T14:13:00+02:002019-03-30T01:40:08+01:00solarusInternet et Technologies<p>La société <a href="http://snootlab.com/" hreflang="fr" title="Site web de Snootlab">Snootlab</a>, basée à Toulouse, a lancé cet été un <a href="https://www.indiegogo.com/projects/chistera-pi-a-dual-rfm-shield-for-raspberry-pi#/" hreflang="fr" title="Chistera-Pi sur Indiegogo">crowdfunding</a> pour développer un <a href="http://f-leb.developpez.com/tutoriels/arduino/univers_arduino/part1/" hreflang="fr" title="Tutoriel shield Arduino">shield</a>.
<br />
C'est la première fois que je participe à un crowdfunding, et je vient de recevoir le kit Early Bird, correspondant aux premières cartes produites, mais avec des accessoires sommaires.
Voici une vue du kit Early bird.</p> <p><a href="https://ultrawaves.fr/blog/public/Chistera-pi/kit-early-bird-up.jpeg" title="kit-early-bird-up.jpeg"><img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/Chistera-pi/.kit-early-bird-up_m.jpg" alt="kit-early-bird-up.jpeg" style="display:table; margin:0 auto;" title="kit-early-bird-up.jpeg, août 2016" /></a>
<br />
Voila une vue de la carte plus en détail :
<img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/Chistera-pi/.chisterapi-board_m.jpg" alt="chisterapi-board.JPG" style="display:table; margin:0 auto;" title="chisterapi-board.JPG, août 2016" />
<br />
Et voilà le shield sur un Raspberry Pi
<img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/Chistera-pi/.chistera-pi-install_m.jpg" alt="chistera-pi-install.JPG" style="display:table; margin:0 auto;" title="chistera-pi-install.JPG, août 2016" />
<br />
Il reste tout à faire, je dois souder les antennes et compiler les logiciels de tests pour tester l'émission et la réception.
A partir de là je pourrais développer des usages plus complexes.</p>
<p>Il reste beaucoup de choses à faire, aussi cet article évoluera au fur et à mesure de mon avancement.
Je vous tiendrait informé des mises à jour.</p>Voyage à Bercyurn:md5:95b214438eff30e1244f77ce6a3cdadd2015-12-07T21:00:00+01:002019-09-22T12:00:29+02:00solarusInternet et Technologies <p>Jeudi, je reçois un email dans ma boite aux lettres, Madame la Secrétaire d’État au Numérique Axelle Lemaire, vous invite , le lundi suivant, à une réunion concernant vos contributions sur le Projet de Loi Numérique.</p>
<p>En effet, deux semaines auparavant, j’avais participé à la contribution officielle sur la plateforme République Numérique.
Pour tester la plate-forme (et ses limites), j’avais proposé un article demandant l’amendement de la Loi Renseignement pour ajouter un juge judiciaire.
J’avais également amendé l’article 8 sur le domaine commun informationnel, une tentative de formaliser le domaine public à travers cette loi numérique.</p>
<p>Vendredi donc, j’apporte une réponse positive à l’invitation, en précisant mon vrai nom, me doutant que mon pseudonyme, pourtant utilisé sur la plateforme ne suffirait pas.
Le laps de temps étant plus que court, je prends 80€ de ma poche pour m’acheter un billet de train Toulouse-Paris aller/retour et j’appelle ma grand-mère en Ile-de-France pour lui demander de loger chez elle.
Vous l’aurez compris, pour le pauvre provincial que je suis, cette réunion s’est faite à mes frais.</p>
<p>Lundi matin, je prends le RER sans encombre, puis le métro 14, nullement impressionné par ce métro automatique car à Toulouse, tous les métros sont automatiques.
Descendu station Bercy, je me présente à l’entrée du Ministère de l’Économie.
Passage devant les douaniers, leur scanner à rayons X et leur portail magnétique, pour un peu je me serais cru égaré à l’Aéroport Charles de Gaulle.</p>
<p>Une foule se presse devant les guichets invoquant l’argument “Oui bonjour, je travaille ici mais j’ai pas encore de badge”.
Arrive mon tour, j’indique avoir rendez-vous avec la secrétaire d’État et présente une pièce d’identité. Brillante idée d’avoir donné mon vrai nom car je n’avais pas de pièce d’identité au nom de Solarus.</p>
<p>Je puis ainsi rentrer dans le bâtiment, traverser la cour pour arriver à l’hôtel des Ministres.
Entré dans le bâtiment, on m’indique un ascenseur, que j’emprunte, pour être accueilli au 4ème étage par une secrétaire qui m’indique que la réunion aura du retard et que je peux m’assoir sur le coté.</p>
<p>Arrive alors un majordome, tiré à quatre épingles qui me propose une boisson chaude. Passé l’effarement de rencontrer pour la première fois un majordome, je lui demande poliment un café.</p>
<p>Arrivent trois autres personnes, un libriste lyonnais, un chercheur en philosophie du droit et un représentant du Consortium Couperin, une entité chargé de négocier les achats de publications pour les universités.</p>
<p>L’heure de la réunion vient enfin et nous sommes présentés à deux personnes, le directeur de cabinet du secrétariat d’État au Numérique et le Conseiller au Numérique du Premier Ministre.</p>
<p>Nous nous installons dans la salle, nous présentons respectivement, et arrive Madame la Ministre (oui on dit Mme la Ministre pour une secrétaire d’état maintenant je le sais et vous aussi.</p>
<p>Commence alors la discussion sur les propositions de chacun.
Les dispositions les plus consensuelles sont étudiées, comme la défense de l’Open Access et de la révision des délais d’embargo sur les publications scientifiques, propositions défendues par le Consortium Couperin et l’on sens visés en première ligne les éditeurs scientifiques américains comme Elsevier.</p>
<p>Le ton y est franc, j’y perçois peu de langue de bois, ce que l’on pourrait attendre de personnes nommées à de tels postes.</p>
<p>Vient ensuite la discussion sur le logiciel libre dans les administrations. Le camp “ministériel”, pour lui donner un nom, semble emballé par l’idée mais tient à apporter quelques nuances.
En effet, si le passage au libre permettra en théorie d’économiser des licences, ce budget devra être réorienter vers de la formation.
Il argumentera également sur la promotion de l'auto-hébergement, rendu à l’heure actuel difficile par certains FAI.</p>
<p>Vient le tour de mes propositions.
Mon pseudonyme avait été automatiquement remplacé par mon nom de naissance. Visiblement, même le Secrétariat d’État au Numérique a du mal avec les pseudonymes.</p>
<p>Ma première proposition ,un amendement à la Loi Renseignement est vite écartée. La franchise reste de mise, mais une pointe de langue de bois se fait entendre quand vient l’argument suivant :
“Cette loi est le plus large consensus jamais vu au Parlement, députés de gauche comme de droite ont voté cette loi”.
Abasourdi par cette réponse, j’oublie de leur répondre que cela n’a pas du être compliqué de faire voter les députés de droite, mais qu’à gauche les pressions du Premier Ministre et les consignes de vote ne sont pas étrangères à ce vote.</p>
<p>Nous passons alors au fameux article 8, où l’on m’explique que la définition de domaine commun, que je contestais, à un but précis, ne pas mélanger avec le domaine public (propriété de l’État), car en effet le domaine commun appartient à tout le monde et donc à personne, pas même à l’État.
Je concède sur ce point et je sors de cet échange en ayant appris un peu plus sur le sujet.</p>
<p>Vient une dernière discussion sur le NIR statistique, un dérivé du numéro de sécurité sociale à destination des chercheurs.
Je m'immisce dans la discussion pour éclaircir un point technique sur les hachages cryptographiques, mais tout le monde comprend aussi bien le risque de l’existence d’un tel identifiant autant du point de vue éthique et cryptographique.</p>
<p>L’entretien se termine, et la ministre s'éclipse au pas de cours, pressé par son agenda (de ministre). Le directeur de cabinet et le conseiller de Matignon nous raccompagnent vers la sortie en nous remerciant.</p>
<p>Un dernier mot sur ce que chacun attend de ce principe de consultation.
Je réponds que si une seule virgule d’un citoyen se retrouve dans le texte final voté par le Parlement, ce sera déjà bien.
Le conseiller au Numérique de Matignon, plus optimiste pense que des propositions entières seront largement reprises dans le texte final.</p>
<p>Quelques semaines plus tard, la V2 du projet de loi fut publiée.
Exit l’article 8 sur le domaine commun informationnel, exécuté par les lobbys de la culture, avant le même le passage devant les députés et les sénateurs.
Adieu aussi l’Open Access réduit à peu de choses, où la promotion du logiciel libre, bref de tout ce que nous avions parlé.</p>
<p>Bilan de cette consultation : mitigée. L’exercice parlementaire moderne se prête bizarrement peu à l’expression démocratique. Les agendas serrés, les commissions, les avis préliminaires, les arbitrages ministériels, représentent autant de filtres pour les propositions citoyennes.</p>
<p>Et ce, avant même le passage au Parlement, où la représentation du peuple est en charge de voter les lois.
Il est encore trop tôt pour juger du résultat de la Loi Numérique, mais cette consultation aura eu le mérité de montrer que dans une démocratique comme la notre, l’expression citoyenne a un long et sinueux chemin à faire.</p>Conférence : La Neutralité du Neturn:md5:d324de4ec6f6f48a11f3281d517d1e472015-08-01T22:02:00+02:002019-09-22T11:59:52+02:00solarusInternet et Technologiesconférenceexposénetnetneutnetneutralityneutralityneutralitéprésentation<p>Il y a quelques temps on m'a demandé de donner une conférence à propos de la Neutralité du Net.<br />
Vous trouverez en lien, le fichier Open Document et le PDF de cette conférence.<br />
Ce document est mis à disposition selon la licence <a href="http://creativecommons.org/publicdomain/zero/1.0/legalcode.fr" hreflang="fr" title="Code juridique Creative Commons 0">CC-0</a> afin d'être ajoutée au domaine public volontaire.<br />
Vous pouvez selon cette licence, le télécharger, le copier, le redistribuer, le modifier librement.<br />
Aussi si vous améliorez ce document, je vous serais très reconnaissant de le republier sous cette même licence et de m'en avertir, afin qu'un maximum de personnes puissent en profiter.<br /></p>
<p>D'autres présentations de conférences paraîtront également sur mon blog au fur et à mesure.<br />
Restez branchés et abonnez vous à mon fil RSS pour être au courant des nouveaux articles.<br /></p> <p><a href="https://ultrawaves.fr/dl/La%20Neutralit%C3%A9%20du%20Net%20v1.0.odp" hreflang="fr" title="La Neutralité du Net - version ODP">La Neutralité du Net (version odp)</a><br /></p>
<p><a href="https://ultrawaves.fr/dl/La%20Neutralit%C3%A9%20du%20Net%20v1.0.pdf" hreflang="fr" title="La Neutralité du Net - version PDF">La Neutralité du Net (version pdf)</a></p>Utiliser le chat Facebook sans Facebook Messengerurn:md5:fc805314e33101a9e088e7845cb2c1e12014-09-08T15:57:00+02:002019-09-22T11:58:50+02:00solarusInternet et Technologiesfacebookjabbermessengerremplacerxmpp<p>Depuis quelques mois déjà, le réseau social Facebook a décidé de rendre obligatoire l'utilisation de son application Messenger pour chatter depuis les mobiles Android et iOS.
Cette décision est très critiquée par les utilisateurs, notamment à cause du nombre étrange de permissions demandées par l'application, il suffit de lire les avis sur le Play Store.
<a href="https://ultrawaves.fr/blog/public/playstore-fbmessenger.png" title="playstore-fbmessenger.png"><img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/.playstore-fbmessenger_m.png" alt="playstore-fbmessenger.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="playstore-fbmessenger.png, sept. 2014" /></a></p> <p>Heureusement il existe une solution simple pour utiliser des applications logicielles libres et de confiance avec le système de chat Facebook.
Cette solution, c'est d'utiliser un client XMPP, derrière ce nom barbare se cache un standard régissant la plupart des systèmes de discussion en ligne (Facebook, GTalk,Jabber,...)
Ce système implique que les serveurs soient ouverts et interconnectés entre eux, mais Facebook ne joue pas le jeu en limitant l'accès de ses serveurs à ses membres.
En clair, alors qu'un utilisateur utilisant un serveur libre pourrait techniquement parler à un utilisateur Facebook, cette possibilité a été bloquée par le réseau social.</p>
<p>Mais pour l'heure, revenons en à notre solution, pour celà vous devez télécharger un client XMPP donc.
Je vous conseille le très bon Xabber sous Android à partir duquel a été écrit ce tutoriel.</p>
<p><a href="https://ultrawaves.fr/blog/public/playstore-xabber.png" title="playstore-xabber.png"><img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/.playstore-xabber_m.png" alt="playstore-xabber.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="playstore-xabber.png, sept. 2014" /></a></p>
<p>Lors de l'ajout d'un compte, Xabber vous proposera d'utiliser votre compte Facebook.
<img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/.xabber-facebook1_m.png" alt="xabber-facebook1.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="xabber-facebook1.png, sept. 2014" />
<img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/.xabber-facebook2_m.png" alt="xabber-facebook2.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="xabber-facebook2.png, sept. 2014" /></p>
<p>Attention, le nom d'utilisateur ne correspond pas à votre adresse mail d'inscription, mais à un identifiant propre à Facebook que vous trouverez ici :
<img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/parametres-facebook1.png" alt="parametres-facebook1.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="parametres-facebook1.png, sept. 2014" /></p>
<p>Une fois le compte validé vous pourrez de nouveau discuter avec vos contacts Facebook.
<a href="https://ultrawaves.fr/blog/public/xabber-facebook3.png" title="xabber-facebook3.png"><img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/.xabber-facebook3_m.png" alt="xabber-facebook3.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="xabber-facebook3.png, sept. 2014" /></a></p>
<p>Et quand vous serez familiarisé avec l'application, vous pourrez en profiter pour ajouter votre compte Google pour y inclure vos contacts Google+/Hangout, et si vous êtes des vrais geeks, vous pourrez ouvrir un compte XMPP sur un serveur fédéré, afin de quitter Facebook et inviter vos amis à faire de même.
<br />
Liste des serveurs publics XMPP : https://list.jabber.at/</p>
<p><a href="https://ultrawaves.fr/blog/public/xabber-facebook4.png" title="xabber-facebook4.png"><img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/.xabber-facebook4_m.png" alt="xabber-facebook4.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="xabber-facebook4.png, sept. 2014" /></a></p>Pourquoi l'IAAS est-il si cher ?urn:md5:1dede8b6879366f724dd27ab4c3cd7172013-11-16T20:06:00+01:002019-09-22T11:58:06+02:00solarusInternet et Technologiesdediedédiéhebergementhébergementiaas <p>Il y a une question que je pose depuis un petit moment en matière de location de serveurs et de datacenters, pourquoi l'IAAS (Infrastructure As A Service) est-il si cher ?
L'IAAS c'est une des seules technologies que l'on peut certainement qualifier de "cloud" sans peur de passer pour un commercial sous coke.<br /></p>
<p><img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/.Clouds_over_Pyrgos_m.jpg" alt="Clouds_over_Pyrgos.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="Clouds_over_Pyrgos.jpg, nov. 2013" />
(Un nuage - original comme illustration non ?) - <a href="http://www.fotopedia.com/items/flickr-4633344116" hreflang="en" title="CC-BY 2.0 Klearchos Kapoutsis">CC-BY 2.0 Klearchos Kapoutsis</a><br /></p>
<p>En quoi cela consiste ? En quelques mots, on peut dire qu'il s'agit de mutualiser les ressources physiques (processeurs, mémoire vive, disques durs,...) sur de grosses machines, les hyperviseurs.
Ces hyperviseurs sont capables de créer des machines virtuelles capables de faire tourner n'importe quel système d'exploitation (comme GNU / Linux) et surtout ils sont capables d'attribuer et de redimensionner les ressources à la volées.
Vous avez besoin de rajouter de la RAM ? Rajoutez-en. De l'espace disque ? Allez-y aussi. Besoin de moins de processeurs que prévu ? Vous pouvez en enlever.<br /></p>
<p>Cette technologie permet donc de concentrer des milliers de machines virtuelles sur quelques grosses machines physiques, et devrait donc concurrencer de front le marché des serveurs à hardware dédié.
Pourtant c'est loin d'être encore le cas, l'adoption de cette technologie se fait lentement. Non pas pour des problèmes techniques, mais bien parce qu'a ressources équivalentes les serveurs dédiés restent moins cher que l'IAAS.<br /></p>
<p>Prenons un exemple :
- Chez Online.net l'entrée de gamme est à 12€ TTC. A ce prix là vous avez : 1 Processeur Via nano mono-coeur à 1,6Ghz , 2 Go de RAM , 500 Go de disque dur et une connectique à 1 Gbit/s avec 150 Mbit/s garantis.<br /></p>
<p>Online.net ne faisant pas d'IAAS je suis allé voir chez Gandi.
La tarification dépendant du nombre d'unité prépayées je vais me baser sur le tarif le plus intéressant.
Ainsi pour 7.46€ / mois vous pouvez faire tourner une instance composée d'un coeur de processeur de 256Mo de RAM et d'un disque de 3Go. Ça fait bien peu même pour les 2/3 du prix d'un dédié.
A ressources équivalentes, le prix augmente de 10€/mois pour 2Go de RAM et de 45€/mois pour 500 Go de disque dur. soit 62€/mois pour l'équivalent d'un dédié d'entrée de gamme.<br />
Attention : je ne cherche pas du tout à discréditer Gandi, ils sont très compétents et parmi les moins cher en terme d'IAAS, allez voir ailleurs, les tarifs sont autrement plus élevés.</p>
<p>Bien sûr,il faut comprendre que le système de l'IAAS incite à l'économie. Tout ce qui n'est pas réellement utilisé à l'instant t étant directement utilisable par les autres instances, il faut inciter les utilisateurs à ne réserver que le nécessaire.
Alors que les hébergeurs de serveurs dédiés ont du mal à ajuster leurs offres et subissent un turn-over trop importants pour eux, il serait intéressant de mettre en avant l'offre IAAS bien plus flexible et ajustable à des usages et des durées de location variables. Mais, il me semble que les prix sont beaucoup trop hauts pour rendre l'offre intéressante. Espérons que cela évolue à l'avenir.<br /></p>
<p>Vos avis sur la question sont les bienvenus dans les commentaires.</p>Nous sommes tous des Big Brothersurn:md5:2e38b4f919fdc66b2ac87819ff2514c42013-08-20T12:22:00+02:002021-05-04T14:07:41+02:00solarusInternet et Technologies <p>Vous pensiez que Big Brother c'était uniquement la NSA, le FBI, la DCRI, Amesys et compagnie ?
La belle affaire, voilà des coupables tout désignés pour éviter d'avoir à réfléchir à notre propre attitude.</p>
<p>Et si Big Brother était plus proche de nous, beaucoup plus proche que nous le pensions ?
Si c'était notre voisin, notre ami, notre compagne ou compagnon ?
Big Brother est dans la poche de cette personne, dans la notre et celle de millions d'inconnus.
C'est le smartphone équipé d'une caméra, qui prendra une photo de votre soirée arrosée, et qui l'enverra sur 3 réseaux sociaux différents dont 2 où vous n'êtes pas inscrits. Puis quelqu'un vous taguera sur cette photo, indiquant que vous étiez présent à cette soirée, flinguant l'alibi du séminaire de travail que vous aviez monté pour votre femme.</p>
<p>Quand vous prenez une photo, vous êtes-vous déjà posés ces questions :<br />
- Les personnes sur cette photos sont-elles conscientes d'êtres prises en photos ?<br />
- Sont elles d'accord que j'utilise leur image sur mes comptes personnels de réseaux sociaux ?<br />
- Sont elles prêtes à prendre le risque de voir leur image copiée, recopiée et modifiée par des gens sans scrupules ?<br />
Si au moins une de ces réponses est non, alors gardez la photo pour votre usage privé, dans un coin de votre PC aussi hors d'atteinte que possible.<br /></p>
<p>Car si Internet a été un progrès fantastique dans beaucoup de domaines, le Web, lui reste à l'image de nature humaine. Parfois bonne, parfois mauvaise et souvent, totalement inconsciente des conséquences de ses propres actes.</p>
<p>À chaque nouvelle technologie, l'humain s'est toujours efforcé de chercher ce que l'on pouvait faire de meilleur ou de pire avec.
À l'heure des téléphones connectés, incluant connexion 3 ou 4G, puce GPS, réseau social, appareil photo caméra, et micro-enregistreur, que reste t'il à Big Brother ?
Pourquoi s'efforcerait t'il de surveiller les gens, pourquoi aller espionner la foule, quand elle s'offre elle-même à vous ?
Et l'arrivée prochaine des Google Glasses et autres outils d'espionnage involontaire ne fait pas avancer les choses dans le bon sens.</p>
<p>Comment pourrions nous réclamer une vie privée quand nous l'exposons nous-mêmes.
Nous prenons en photos nos repas sur Intagram, nos amis sur Facebook, publions nos moindres réflexions sur Twitter, nos goût musicaux sur Last.fm et nos parties de jeu sur Youtube.
Comment après cela réclamer que notre vie reste privée, comment réclamer que ce que nous rendons public chaque jour puisse rester privé ?</p>
<p>Nous sommes tous des Big Brother, nous avons sacrifié notre vie privée et notre intégrité sur l'autel de l'égo, pour satisfaire notre voyeurisme et nos perversions.
En attendant que nous prenions conscience de cela, la NSA est un bouc émissaire bien pratique.</p>
<p>PS : L'écrivain Walter Kim parle de Little Brother pour décrire ce phénomène. A lire ici : http://www.internetactu.net/2010/11/16/little-brothers-contre-big-brother/ <a href="http://www.internetactu.net/2010/11/16/little-brothers-contre-big-brother/" hreflang="fr" title="Little Brother contre Big brother"></a></p>Free bloque Google ? bloquons tous Free !urn:md5:a83779fd7af9c9d7382e6b4f65b765372013-01-04T08:59:00+00:002021-05-04T13:08:04+01:00solarusInternet et Technologies <p>Bonjour à tous</p>
<p>Je vais revenir rapidement sur le problème du bloqueur de publicité de la Freebox.</p>
<p>Free a installé sur les Freebox un bloqueur de pub activé par défaut grace à un DNS menteur. Activé par défaut signifie que l'utilisateur n'a à priori pas conscience que son FAI modifie du contenu à sa place.
DNS menteur signifie que le FAI a pouvoir de filtrer du contenu à sa guise, c'est la porte ouverte à ce dont rêve la Hadopi depuis sa création, filtrer tous les sites qui dérange les industries du divertissement.</p>
<p>Bref, Free à ouvert la boite de Pandore du filtrage DNS, et celà risque d'avoir des conséquences au delà des simples bannières de pub.</p>
<p>Mais l'offensive de Free par rapport à la Neutralité du Net pose une question ? Comment riposter, comment montrer à Free que ce qu'il fait est totalement stupide et dangereux.
La seule solution que je vois est de bloquer Free sur votre serveur.</p>
<p>Comment faire ?
Il suffit d'ajouter les adresses suivantes dans votre Firewall et de régler les paquets en rejet :
Voici les plages d'adresses IP de Free :</p>
<ul>
<li>37.1.232.0/21</li>
<li>37.8.160.0/19</li>
<li>37.160.0.0/12</li>
<li>62.4.0.0/19</li>
<li>62.147.0.0/16</li>
<li>62.210.0.0/16</li>
<li>78.192.0.0/10</li>
<li>81.56.0.0/15</li>
<li>82.64.0.0/14</li>
<li>82.224.0.0/11</li>
<li>82.224.0.0/12</li>
<li>82.240.0.0/12</li>
<li>83.152.0.0/13</li>
<li>88.120.0.0/13</li>
<li>88.160.0.0/11</li>
<li>194.149.160.0/19</li>
<li>195.154.0.0/16</li>
<li>212.27.32.0/19</li>
<li>212.47.224.0/19</li>
<li>212.83.128.0/18</li>
<li>212.129.0.0/18</li>
<li>213.36.0.0/16.</li>
<li>213.228.0.0/18</li>
<li>2a01:0e00::/26</li>
</ul>
<p>Bien sûr, ce que je vous indique est complètement stupide, celà aura pour effet de casser Internet, mais c'est déjà ce que fait Free avec son DNS menteur. Il se permet de supprimer certains domaines en modifiant les réponses DNS, ce qui est une forme de piratage (DNS spoofing).
Si un FAI se permet de supprimer des contenus légaux qui font partie du Web, pourquoi ne pas supprimer ses IP de l'Internet ?</p>
<p>Pourquoi pas non plus modifier mon serveur DNS pour rediriger Free vers Google ?
Internet repose sur des règles de coopération et de systèmes ouverts avec des règles qui sont les mêmes pour tout le monde. Personne n'a intérêt à voir Internet devenir un Far West où chaque FAI dicte ses propres règles.</p>
<p>Comme dit la maxime, ne fais pas aux autres ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse, et Free va l'apprendre a ses dépend.</p>Le CSA,l'ARCEP et l'Hadopi - Scénario catastropheurn:md5:80e0162f5b9c562f17d41107b35f74992012-07-17T20:05:00+01:002019-03-30T00:41:14+00:00solarusInternet et Technologies <h2><br />Scénario catastrophe</h2>
<p>A l'heure ou je l'écrit, cet article est une œuvre de fiction.
Cependant la réalité dépassant souvent la fiction, j'espère qu'il restera toujours une fiction.</p>
<h3>Au Parlement</h3>
<p>17 juillet 2014 - Je regarde BFM TV sur mon écran plat. Ma box Internet relaie le flux vidéo de cette chaine de télévision.<br />Le Président Hollande annonce la fusion de l'ARCEP et du CSA, qui fusionnent pour donner naissance au CSAN, le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel et du Numérique.
Les missions sont précisées, le régulateur de l'audiovisuel devient aussi celui des télécommunications.<br /><br />Autrefois il n'y avait qu'une seule chaîne de télévision, puis 6 puis 18. Les fréquences étaient limitées il fallait délivrer des autorisations d'émission pour les chaînes de télé ainsi que les radios.<br />Avec Internet et l'infinité des canaux de distribution, le CSA sentait sa mort arriver, il fallait réagir.<br /><br />Le débat n'a pas fait rage à l'assemblée, les députés PS et UMP ont voté le texte de loi avec une large majorité. Ce texte faisait suite aux recommandations de la commission Lescure.
Cette dernière recommandait justement de donner la régulation des télécoms à l'audiovisuel, puisqu'Internet distribuait majoritairement de l'audio et de la vidéo.<br />Voté en plein été le texte le public n'a pas réagi à ce vote, malgré les protestation du Parti Pirate, de la Quadrature du Net et des FAI associatifs, le CSA avait maintenant le pouvoir de réguler le Net français. C'était acté.</p>
<h3>Régulation</h3>
<p>Août 2014 -
Voilà un mois que le CSAN a pour mission de réguler les contenus sur Internet. Au nom de la télévision connectée ils mettent le web français en ordre de marche.<br />Pour l'instant ils copient à l'identique leurs méthodes de régulation de la télévision.
Ils ont imposé aux opérateurs d'instaurer un système de contrôle parental pour bloquer la visite des sites pornographiques.<br /><br />Google commence à montrer les crocs, ils ne veulent pas que le gouvernement français touche à Adword et à Youtube. L'envoi de lobbyistes avant le vote du texte de loi n'avait pas suffit, ils s'étaient maintenant armés pour un bras de fer.<br /><br />Tous les sites de streaming vidéo français sont mis au pas. Il faut respecter les règles de morale du CSAN. Des macarons -10, -12 ou -16 sont automatiquement ajoutés sur les vidéos uploadés.<br />La contestation gronde, les créateurs amateurs quittent les sites français.
Les webradios sont étroitement surveillées, pas de vulgarité avant 22 heures, pas de propos trop crus pour les émissions de radio libre.<br /><br />Puis ils s'attaquent à la publicité sur les sites français.
Ils instaurent des règles et des taxes. La publicité en ligne n'est plus rentable. Les annonceurs désertent le web, certains sites vivant de la publicité ferment.<br />Le CSAN envoie une mise en demeure aux chaînes Youtube. L'Irlande ne répondra pas au régulateur français.</p>
<h3>Risposte régulée</h3>
<p>Septembre 2014
- Le CSAN commence à recevoir des demandes d'ayants droits demandant la suspension de webradios diffusant de la musique sans autorisation.<br />Le Conseil étudie la question, et décide de lui même que ce problème fait parti de ses attributions.<br /><br />Les missions du CSAN augmentent mais pas son budget. Le Conseil râle, d'autres organismes semblent faire doublon avec lui. Les 20 millions de l'Hadopi leur seraient bien utiles. La force technologique que sont les Labs et les juristes du CNN également.
En cette période de disette économique le Parlement décide de dissoudre l'Hadopi et le CNN dans le CSAN.
Il assurera désormais les missions de riposte graduée de feu l'autorité.</p>
<h3>Bras de fer</h3>
<p>Décembre 2014 -
Le CSAN a fait le ménage sur le Net français.
Les contenus illicites sont supprimés ou rendus indisponibles depuis la France et les acteurs numériques sont muselés.<br /><br />Google a fini par céder et verse des sommes faramineuses à l'Etat français au titre d'une redevance exceptionnelle sur les sociétés numériques étrangères.
Mais les utilisateurs utilisent de plus en plus de VPN, ils louent des serveurs en Suède pour échapper à la régulation française.<br /><br />Le CSAN lance un appel d'offre pour un système de surveillance avancé du réseau, et c'est le système Eagle d'Amesys/Bull qui remporte l'appel d'offre.</p>
<h3>Ca va couper</h3>
<p>Janvier 2015
- Les connexions sont maintenant surveillées par Eagle, les connexions sécurisées sont interrompues lorsque leur contenu n'est pas conforme à la régulation française.<br />La France accuse la Suède d’héberger des terroristes numériques.
Les relations diplomatiques se dégradent au niveau des deux pays.</p>
<p>Finalement beaucoup d'acteurs du numérique jettent l'éponge.
France Télévision, Lagardère, Bouygues et Google sont les seuls à rester en course.</p>
<p>Bienvenue en 2015.</p>
<h3>Epilogue</h3>
<p>17 juillet 2014 - 10h56, j'ai trop dormi. Twitter m'annonce une nouvelle importante, j'ouvre le stream vidéo. Le Président Hollande annonce la dissolution du CSA. Ouf, ce n'était qu'un cauchemar...<br /><br />Addendum :
Si vous voulez empêcher ça vous pouvez : </p>
<p>-Rejoindre le <a href="https://partipirate.org/blog/"> Parti Pirate </a></p>
<p>-Donnez des sous à la <a href="http://www.laquadrature.net/fr/"> Quadrature du Net </a> </p>
<p>
-Adhérer aux opérateurs de la <a href="http://www.ffdn.org"> Fédération FDN <br /></a></p>
<p><a href="http://www.ffdn.org"><br /><br /><br /></a></p>Mac Do censure et Facebookurn:md5:c676b35e2c93d93ce0d539fdab4a10a62012-07-17T09:41:00+01:002021-11-06T17:17:58+00:00solarusInternet et Technologies <p>Juste un petit billet pour partager cet article.<br />
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<a href="http://eyetap.blogspot.ca/2012/07/physical-assault-by-mcdonalds-for.html">http://eyetap.blogspot.ca/2012/07/physical-assault-by-mcdonalds-for.html</a><br />
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Cet article est censuré sur Facebook. Il raconte l'histoire d'un canadien handicapé en visite en France qui s'est fait agressé et détruire ses prothèses optiques, qui sont des lunettes intelligentes.<br />
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Deux choses, la façon dont Mac Donald traite ses consommateurs est honteuse, d'autant plus qu'il s'agit d'une personne handicapée. Cette dictature des vigiles est insupportable il est temps que la justice sévisse.<br />
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Deuxièmement la façon dont Mac Donald réagit à l'arrivée de lunettes intelligente montre leur peur d'être espionnés et filmés. Auraient t'ils des choses peu avouables à cacher ? Des problèmes d'hygiène par exemple ? Tout le laisse à penser.<br />
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Attention donc si vous achetez les futures Googles glasses, vous serez interdit de Mac Do.</p>Bonne année 2012urn:md5:e4e23e3499a0efc0f17e10473319b4822012-01-01T22:12:00+00:002012-12-28T16:21:54+00:00solarusInternet et Technologies <p>Chaque année je prends la bonne résolution de m'occuper de ce blog, et je n'y arrive pas.
2011 a été une année riche sur le plan personnelle, ce qui m'a laissé peu de temps pour m'occuper d'Internet et de ce blog.</p>
<p>Cette année je m'occupe de mon blog. Les articles en attente seront publiés, et les articles déjà publiés seront réécrits. Et non ce n'est pas une promesse électorale.
Il faudra surtout que je me remette au CSS pour faire un joli skin, et ça, ça va être dur. ;)</p>
<p>Avoir son propre espace d'expression est important, aussi pour 2012 je vous invite à faire comme moi :ignorer Facebook, et à côté de vos tweets ouvrir un blog.
Plus nous serons nombreux à nos exprimer et plus notre parole aura de la valeur. Une article sur votre blog aura plus de valeur que n'importe quel "like" ou "retweet".</p>
<p>Fabriquez votre blog, comme si vous aménagiez un salon pour vos invités, personnel et sympathique, Wordpress et Dotclear , deux logiciels libres seront là pour vous aider.</p>
<p>2012 sera une grande année, si vous ouvrez votre gueule !</p>
<p><img src="https://ultrawaves.fr/public/ouroboros-maya.jpg" alt="Maya2012" style="display:block; margin:0 auto;" title="Maya2012, janv. 2012" /></p>
<p>Bonne année à tous.</p>https://ultrawaves.fr/blog/index.php?post/2012/01/01/Bonne-annee-2012#comment-formhttps://ultrawaves.fr/blog/index.php?feed/atom/comments/135Diaspora mode d'emploi.urn:md5:6f3dda2a711e0656901d024c7a39c2c72010-12-10T15:40:00+00:002019-03-30T00:40:12+00:00solarusInternet et Technologiesdecentralisédiasporaemploifacebookinscriptionmode <p>Diaspora est encore à l'état d'alpha (pré-version de test) et déjà beaucoup d'incompréhensions semblent pointer à propos de son fonctionnement.</p>
<p>Diaspora est un réseau multi-serveurs, ce qui signifie qu'il peut exister des centaines de serveurs capables de communiquer entre eux . Le premier d'entre eux, joindiaspora.com est en invite seulement pour des raisons de tests . Il est considéré comme le serveur officiel mais... mais... il va falloir oublier l'idée de chercher un serveur "officiel". Sur Diaspora, tout serveur est membre du réseau et donc "officiel" tant qu'il utilise une version correcte du logiciel source.</p>
<p>Pour mieux vous expliquer le principe de réseau multi-serveurs comparons Diaspora avec son concurrent Facebook.</p>
<p>Facebook fonctionne sur le principe de serveur unique, les clients se connectent à un serveur et les serveurs de facebook communiquent entre eux dans l'opacité la plus totale.
<img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/schema_facebook.png" alt="schema_facebook.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="schema_facebook.png, mar. 2013" /></p>
<p>Diaspora quant à lui fonctionne sur le principe de décentralisation. Un utilisateur se connecte sur son serveur, et va vouloir communiquer avec ses contacts. Son serveur se charge de transmettre l'info aux autres serveurs, qui vont informer leurs utilisateurs respectifs.
<img src="https://ultrawaves.fr/blog/public/schema_diaspora.png" alt="schema_diaspora.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="schema_diaspora.png, mar. 2013" /></p>
<p>Ainsi quand anne@joindiaspora.com voudra envoyer un message à bill@diasp.org, le serveur joindiaspora.com saura où trouver bill puisque son serveur est indiqué dans son adresse Diaspora . C'est exactement le même principe que les adresses e-mail, principe fiable et sûr utilisé depuis 1965.</p>
<p>Ainsi pour répondre aux questions fréquemment posées sur Twitter, vous pouvez rejoindre Diaspora par n'importe quel serveur membre du réseau . Il n'y a aucun risque à rejoindre diasp.org même si il semble y avoir pour l'instant des problèmes de communication avec joindiaspora.com . Mais le système étant en test, les bugs sont nombreux, et tous les retours utilisateurs sont utiles.</p>
<p>Merci à tous de participer à l'aventure Diaspora.</p>
<p>solarus@diasp.eu</p>Flash n'est pas du Weburn:md5:20f21fe36926b227d6a5e56bcc36c5392010-01-27T23:55:00+00:002012-12-28T16:23:01+00:00solarusInternet et Technologies <p>Un sacrilège a été commis.
Quelqu'un a osé dire que "sans Flash, l'expérience du web était incomplète". Grossière erreur, tout simplement parce que Flash, ça n'est pas du web.</p>
<p>Mais pour pouvoir dire cela il faut pouvoir dire qu'est-ce que le web ?
Le web est une partie d'Internet, formé de l'ensemble des pages hypertext hébergées sur des serveurs web (Apache,IIS). Ces pages sont soumises à diverses normalisations, ceci afin de pouvoir êtres lues et interprétées par toutes sortes de navigateurs sur toutes sortes de machines.
Ainsi , le HTML, le XHTML, le PNG, etc... sont normalisés par le W3C afin de fournir une cohérence globale au monde du web.</p>
<p>Quel intérêt à celà ? Il est évident, il s'agit de permettre à une page d'être lue de la même façon par votre ordinateur de bureau avec Firefox, qu'avec votre téléphone 3G sous Safari.</p>
<p>Hors il y a des objets extérieurs qui peuvent s'inclure dans les pages web. Ces objets extérieurs comme leur nom l'indique sont extérieur au web.
Pour pouvoir les lires, il faut un plugin, un greffon, dont la compatibilité n'est pas garantie sur toutes les machines, ni tous les navigateurs.</p>
<p>Flash en fait partie, et donc n'est pas du web.
Tous les possesseurs d'Iphone maudissent d'ailleurs le Flash de pourrir leur "expérience du web" par son absence.
Hors sans Flash , le web redevient ce qu'il est vraiment: du code, des pages, et des objets libres.
Je vous invite d'ailleurs à vous munir d'un navigateur récent (au hasard : Firefox 3.6) et à expérimenter l'intégration de la vidéo et de l'audio directement dans les pages web en HTML 5, c'est à dire sans passer par Flash.</p>
<p>Et ça c'est du web.</p>https://ultrawaves.fr/blog/index.php?post/2010/01/27/Flash-n-est-pas-du-Web#comment-formhttps://ultrawaves.fr/blog/index.php?feed/atom/comments/136